• Cet après midi, direction le parc de la Valombreuse, à Petit Bourg.

    Le parc propose de découvrir la flore locale, tout en offrant plein de jeux et activités pour les enfants.

    Déjà, en entrant, ce sont des roses de porcelaine à profusion.

    Le parc de la Valombreuse part 1: la flore

    Et ensuite, les orchidées... Le paradis des orchidées!

    Le parc de la Valombreuse part 1: la flore  Le parc de la Valombreuse part 1: la flore

    Le parc de la Valombreuse part 1: la flore  Le parc de la Valombreuse part 1: la flore

    Le parc offre toutes les espèces endémiques, mais aussi toutes les plantes tropicales qui se sont acclimatées ici: héliconias, hibiscus, cacaoyers, bougainvilliers, plantes médicinales, et j'en passe, tellement tout ça foisonne.

    De jolis petits coins de verdure,

    Le parc de la Valombreuse part 1: la flore

    et des fleurs, des plantes...

    Le parc de la Valombreuse part 1: la flore  Le parc de la Valombreuse part 1: la flore

    Le parc de la Valombreuse part 1: la flore  Le parc de la Valombreuse part 1: la flore

    C'est un très joli parc, même s'il a fallu le parcourir au pas de course car les Affreux étaient pressés de profiter des jeux!

    Le parc de la Valombreuse part 1: la flore


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  • On ne s'en lasse pas...

    La plage de Malendure est toujours aussi magnifique, et les tortues toujours présentes. Pour les amateurs de PMT, c'est un régal, de pouvoir "surnager" les tortues. Il suffit d'être patient, et de les regarder évoluer. Avec beaucoup de douceur, on peut les accompagner un peu, nager à leurs côtés, ou même effectuer un ballet surréaliste, lorsque la tortue, curieuse de voir qui la regarde, se met à vous tourner autour. Et on tourne, on tourne...

    A Malendure, nul doute qu'il y a de la magie.

    Nage avec les tortues

    Nage avec les tortues

    Nage avec les tortues

    Nage avec les tortues


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  • Le parc des mamelles est LE parc zoologique de Guadeloupe. Incontournable pour découvrir la flore et les animaux, locaux ou carrément plus exotiques.

    On commence par les emblèmes du parc: les si mignons racoons! Ils savent se dresser tout droits pour quémander des friandises, et sont craquants avec leur masque sur les yeux. On a pu voir les bébés, souvent rappelés à l'ordre par leur mère, ou rattrapés d'une patte attentive quand ils se penchaient trop au dessus du bassin.

    Le parc des mamelles  Le parc des mamelles

    Le parc des mamelles

    La balade se poursuit sur les passerelles de bois, au milieu des arbres, lianes et fleurs.

    Le parc des mamelles  Le parc des mamelles

    La joyeuse troupe s'empresse de nous semer,

    Le parc des mamelles

    et file attraper les lézards...

    Le parc des mamelles

    à moins que ce ne soit l'inverse!

    Le parc des mamelles

    Le parc permet d'observer de tout près ocelots, tortues, caïmans, crabes, insectes locaux, oiseaux et perroquets,

    Le parc des mamelles  Le parc des mamelles

    les jaguars,

    Le parc des mamelles  Le parc des mamelles

    et les singes, qui ont fait la joie de Lisa!

    Le parc des mamelles

    Lisa qui s'est fait mener par Elea avec beaucoup de sérieux sur les passerelles des tout petits avant de se transformer en jolie fleur...

    Le parc des mamelles

    Le parc des mamelles

    Les grands eux peuvent se balader au milieu de la canopée, sur une passerelle aérienne, et c'est impressionnant de flirter avec la cime des arbres, avec en fond les cris des aras. La jungle tropicale en grand!

    On a  redécouvert avec beaucoup beaucoup de plaisir le parc, merci Laurent et Stéphanie pour cette agréable journée!


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  • Dans les eaux de Guadeloupe, on a la chance de pouvoir croiser 5 espèces de tortues marines (il y en a 7 en tout à l'échelle mondiale). Et sur ces 5 espèces, 3 viennent pondre sur nos plages: la tortue verte, la tortue imbriquée, et l'imposante tortue luth, dont c'est la pleine période de ponte en ce moment.

    L'association Kap Natirel et ses écovolontaires suivent ces pontes et font partager leurs connaissances à travers différentes manifestations, comme en ce moment une sensibilisation sur les plages.

    On avait rendez vous ce matin sur la magnifique plage de la Grande Anse à Trois Rivières (longue plage sauvage de sable noir)

    Sur les traces des tortues

    Sur les traces des tortues

    avec Caroline, la présidente de l'association.

    Sur les traces des tortues

    Elle nous a expliqué avec passion le parcours de ces tortues; on a  pu observer des traces, et aussi des nids creusés ces derniers jours.

    Sur les traces des tortues

    La vie de tortue, c'est pas toujours facile, et celle de tortillon encore moins. Une vie semée d'obstacles, de prédateurs, naturels ou humains.

    J'aime les tortues, je les trouve vraiment magnifiques, et j'espère très bientôt avoir la chance d'assister en vrai à une ponte... Avec Elia, nous accompagnerons les écovolontaires une nuit et j'espère qu'elles seront au rendez vous!

    Sur les traces des tortues

     


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  • Si je vous dis "sargasses" ça vous dit quelque chose? Jusqu'à il y a quelques années, ça m'aurait fait penser "mer des sargasses", nom exotique d'un endroit perdu on ne sait où, un mystère géographique en somme.

    Mais malheureusement, les sargasses ont tendance à faire parler d'elles, et on ne les connaît désormais que trop. Les sargasses, ce sont ces vilaines algues brunes qui prolifèrent sur nos côtes antillaises. Ce qui n'était jusque là qu'un désagrément visuel et olfactif, est en train de devenir une réelle catastrophe sanitaire et écologique. Des bancs entiers viennent polluer les plages. Ci-dessous Saint Félix, les Salines, ou encore la marina de Saint François.

    Invasion!

    Invasion!

    Invasion!

    Invasion!

    Outre le fait qu'elles sont nocives pour la santé (elles dégagent des gaz toxiques; leurs bancs abritent des micro bestioles urticantes, ou encore peuvent dissimuler des poissons lions), elles sont en train de détruire notre environnement: asphyxie des jolis diodons, des poissons, du corail, tortues empêtrées dans les algues...

    Invasion!

    Le préfet risque de demander sous peu l'état de catastrophe naturelle, mais en attendant aucune mairie, personne n'agit. C'est vrai que c'est bien embêtant à stocker, à dépolluer, et puis ça coûte cher... On commence à voir des initiatives personnelles, par contre. Ce week end, des ramassages sont prévus par les locaux, en espérant faire réagir rapidement l'Etat ou les collectivités.

    Mais gageons que le problème sera soulevé rapidement, le 10 mai, avec la venue de François Hollande. Pour l'anecdote, le président doit venir inaugurer le Mémorial ACTe (gros bâtiment autour de l'esclavage et de la traite négrière); ces messieurs de l'organisation ne souhaitaient pas le faire passer par le quartier de la Darse, car visuellement, c'est bof, et ça craint. Ils avaient donc prévu une arrivée tonitruante par la mer. T'as qu'à croire...

     


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